septembre 13, 2021
juillet 30, 2021
juillet 26, 2021
juillet 09, 2021
juin 24, 2021
Vous allaitez votre enfant et vous êtes attentive à ne boire aucune goutte d’alcool. Faut-il éviter le café, le thé et les jus de fruits ? Quant à l’eau, laquelle choisir entre celle du robinet et l’eau de source ?
Seule l’eau est recommandée pour les femmes qui allaitent. Même les jus de fruits maison sont à consommer avec modération car le taux de fructose naturel des fruits passe dans le lait. De même, les sodas, trop sucrés, sont à proscrire pour le bien-être de bébé. Le temps de l’allaitement, limitez aussi le café et le thé car la caféine passe elle-aussi dans votre lait. Le sommeil de bébé pourrait en être perturbé...
L’eau du robinet convient si celle-ci est bien équilibrée. Renseignez-vous auprès de l’ARS ou auprès de la mairie pour connaître la qualité de l’eau. Celle-ci peut évoluer chaque semaine à cause de l’environnement extérieur comme les pesticides en région viticole ou agricole. L’eau peut également varier en qualité dans les petites villes et villages touristiques dont la population double ou triple pendant les vacances. Certaines stations d’épuration n’ont pas la capacité suffisante pour une filtration optimale et l’eau du robinet peut alors être chargée en bactéries…
L’eau de source en bouteille est appropriée pour l’allaitement. Une eau de source naturellement riche en calcium permet de couvrir vos besoins, notamment si vous consommez peu de produits laitiers.
Le lait maternel est composé à plus de 87 % d’eau. Si vous ne buvez pas assez, ce n’est pas votre bébé qui manquera de lait mais votre organisme qui sera déshydraté. Vous devez boire chaque jour l’équivalent de ce que votre enfant « tête ». Dès l’âge d’un mois, un nouveau-né boit environ 800 ml par jour. Il est ainsi recommandé de boire 2, 3 litres d’eau en moyenne par jour, davantage en cas de fortes chaleurs. Vous pouvez demander conseil à votre médecin traitant ou à votre sage-femme sur les quantités de boissons ou sur votre équilibre alimentaire pendant l’allaitement. Car le lait maternel est « fabriqué » à partir du sang. Tous les nutriments de votre alimentation passent aussi dans le lait maternel !
juin 21, 2021
juin 14, 2021
juin 10, 2021
juin 07, 2021
mai 18, 2021
avril 30, 2021
Les plantes sont des alliées naturelles contre la constipation. Nombreuses sont celles connues pour leur effet laxatif. Nous n’aborderons ici que les plantes dont l’action est douce pour notre organisme : le psyllium, les graines de lin et le romarin.
Le psyllium, connu aussi sous le nom d’ispaghul est un plantain “des sables”. Son fruit renferme des graines rouge-brun et luisantes pour la variété européenne, blondes pour celle asiatique. Cette plante est naturellement laxative grâce à l’enveloppe de ses graines qui contient des mucilages. Ce sont des sucres capables d’absorber de grandes quantités d’eau et de gonfler dans l’intestin. Ces sucres se transforment alors en gel qui lubrifie les selles et facilite leur évacuation.
Comment utiliser le psyllium ?
Mélanger les graines de psyllium ou prendre du psyllium sous forme de gélules avec un grand verre d’eau le soir.
Les graines de lin sont reconnues pour leurs propriétés laxatives. Leur action est uniquement mécanique en augmentant le volume des selles grâce à leurs fibres. Comme les graines de psyllium, leur enveloppe est riche en mucilages. Ce lubrifiant naturel va accélérer et faciliter le transit.
Comment utiliser les graines de lin ?
Mélanger 1 c. à café de graines de lin écrasées dans un grand verre d’eau. Plus pratiques, les sachets-dose prêts à l’emploi, à diluer. A renouveler deux à trois fois dans la journée.
Recommandation : Les graines de lin entières ne sont pas recommandées aux personnes qui ont des diverticules à l'intestin ni à celles souffrant du syndrome de l’intestin irritable.
Le romarin facilite la digestion grâce aux flavonoïdes et aux essences qu’il contient. Il est aussi reconnu pour ses propriétés anti-inflammatoires et antiseptiques. L’Agence européenne du médicament considère comme «traditionnel» l’usage des feuilles et de l’huile essentielle de romarin «par voie orale, dans le traitement des digestions difficiles»
Comment utiliser le romarin ?
Infuser des feuilles de romarin en tisane. Pour une tasse d’eau chaude, une c. à café de feuilles. A renouveler 3 fois par jour.
avril 29, 2021
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Si vous souffrez de constipation avant et pendant les règles, c’est normal. Ce sont vos hormones qui modifient les contractions intestinales et rendent votre transit paresseux. On vous explique comment.
Au 14e jour de votre cycle, lors de l’ovulation, votre taux de progestérone augmente fortement. Le but est de préparer le corps à une éventuelle grossesse. Si l’ovule est fécondé, la progestérone continue sa courbe ascendante, sinon, elle diminue graduellement jusqu’au 20e jour, juste avant vos règles. Cette modification hormonale a un impact sur votre organisme. Car la progestérone agit comme un relaxant musculaire pour les organes y compris sur le gros intestin (côlon).
Le rôle du gros intestin est de pousser les matières fécales vers le rectum grâce à des mouvements contractiles que l’on appelle péristaltisme. Quand les muscles du gros intestin sont détendus par la progestérone, le nombre de contractions diminue. Moins de mouvements implique plus de matières fécales qui stagnent et fermentent. Vous êtes alors constipée voire ballonnée.
Normalement, le transit reprend pendant les règles quand la progestérone retrouve un taux normal. Toutefois, certaines femmes restent constipées pendant leur menstruation. Le coupable se nomme l’iléus réflexe. C’est un arrêt des contractions intestinales face à la douleur provoquée par les règles. En agissant sur la douleur des règles (si possible), votre transit devrait repartir.
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Si vous êtes atteinte du syndrome du côlon irritable https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/syndrome-intestin-irritable/reconnaitre-syndrome-intestin-irritable ou d’une endométriose digestive https://www.endofrance.org/la-maladie-endometriose/symptomes-endometriose/troubles-digestifs/ les modifications hormonales avant ou pendant les menstruations peuvent aussi agir sur votre transit. En cas de constipation chronique, notamment en cas d’endométriose digestive, parlez-en à votre médecin.
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